Le bûcher du domaine de Beaulieu ne figure que sur cette stéréoscopie datée du mois de décembre 1852. Cette dépendance pittoresque de style chalet suisse, conservée de nos jours mais en très mauvais état et partiellement effondrée, présente un riche décor en bois découpé, mis en évidence sur la vue de droite qui est mieux exposée. Une fois de plus, Eynard mêle représentation d’architecture et portrait de groupe. Il est lui-même assis devant la porte du bûcher, entre son petit-neveu Ernest de Traz à gauche et deux de ses employés. Eynard associe assez souvent ses proches et ses domestiques dans un même portrait. (I. Roland)
inscription sur l'oeuvre
Inscription posthume : Non