Sur cette stéréoscopie postérieure à 1851, on voit la dépendance de la maison de maître de Beaulieu appelée la volière, présente sur quatorze daguerréotypes (pour en savoir plus, voir 2013 001 dag 061). Une fois de plus, Eynard mêle représentation d’architecture et portrait de groupe, proches et domestiques. Ainsi sa petite-fille Hilda se tient-elle debout sous l’arcade du bûcher tandis que deux employés se trouvent sur la terrasse. Les personnages ont un rôle secondaire, ce sont le bâtiment et son beau décor néogothique et pittoresque qui constituent le sujet principal de ce daguerréotype. La vue de gauche présente quelques taches sombres et celle de droite est légèrement surexposée. (I. Roland)
Inscription posthume : Oui